Sanitas : la construction des ascenseurs a commencé

Zoom sur le projet avec Karene Henri : la référente locataire – 

Dans le quartier du Sanitas, les opérations de rénovation se poursuivent afin d’offrir aux habitants un cadre de vie plus agréable au quotidien. Focus sur la construction d’ascenseurs, avec Karene Henri, la référente locataire sur ce projet.

C’était un projet très attendu pour le quartier : la construction, de 22 ascenseurs dans plusieurs immeubles du Sanitas. Jusqu’ici, les ascenseurs faisaient défaut dans ces bâtiments de quatre étages, et notamment auprès des locataires à mobilité réduite : les personnes en situation de handicap évidemment, mais aussi les personnes âgées, ou les mères de famille avec des enfants en bas âge, devant être portés ou installés dans des poussettes.

 

Une référente locataire pour aller à la rencontre des habitants

 

Afin de bien tenir informés tous les habitants de l’avancée des travaux et de faire le lien entre eux et les entreprises qui interviennent, une référente locataire a été recrutée par Bouygues Bâtiment.

 

Son nom : Karene Henri

Sa force ?

Connaître très bien les autres locataires pour les avoir rencontrés – entre autres – dans le cadre de ses activités de vente à domicile. Elle vit sur place depuis 1 an et demi. Pour celle qui se dit impliquée dans la vie du quartier, le contrat d’insertion professionnelle proposé par l’intermédiaire de la mission locale de Touraine était une aubaine : « Ils recherchaient vraiment quelqu’un qui puisse aller à la rencontre des habitants », raconte celle qui a pris son poste au moment du début des travaux en juillet dernier.

 

Faciliter l’accès à l’information

« Pour l’instant, il n’y a aucune plainte des locataires… Au contraire, ils sont plutôt contents de voir que le projet se concrétise ! », rapporte leur référente, dont la mission est en ce moment d’aller à la rencontre de ces derniers afin de leur parler des outils mis à leur disposition. D’une part, le livret de travaux, qui recense de nombreuses informations telles que les plans, les ouvriers qui interviennent sur le chantier, des photos de ce dernier, ou encore l’adresse de la base-vie. Et d’autre part, l’appli mobile « Smiile », réseau social de voisinage collaboratif et qui leur permettra d’échanger entre eux. L’important étant qu’ils soient tous bien informés, mais aussi que la relation avec l’entreprise de travaux soit facilitée. « Si par exemple il y a une réclamation, ou encore qu’il faut visiter un logement, je serai là pour les mettre en contact », conclut Karene Henri.